Archive | janvier, 2011

La revanche de Claira XIII n’aura pas lieu (aujourd’hui)…

30 Jan

Claira XIII ne recevra pas son homologue Bitterois, aujourd’hui. Les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la Salanque dans la nuit de vendredi à samedi sont les causes de cette annulation. De plus, les départements des Pyrénées Orientales et de l’Aude étaient placés en alerte orange, jusqu’à ce matin. La rencontre est reportée sine die.

C’est le deuxième dimanche de relâche consécutif pour les Clairanencs, qui n’avaient pas de match prévu le week end dernier. Ils en ont profité pour fêter la Saint Vincent. Néanmoins, les joueurs attendent avec impatience le match retour face à Béziers. Ils l’auront leur revanche…

Du rugby au cinéma…

28 Jan

Le rugby en héritage est le thème du film de Philippe Guillard, actuellement dans les salles. Le fils à Jo raconte l’histoire de Jo Canavaro (Gérard Lanvin), petit-fils d’une légende du rugby, fils d’une légende, et lui même légende du rugby, qui élève seul son fils de 13 ans, Tom (Jérémie Duvall). Mais Tom n’est pas un bon demi d’ouverture et Jo va lancer une équipe de rugby pour son fils.

« Il y a de beaux paysages dans le film » déclare Martin, un jeune professeur des écoles. L’histoire se déroule aujourd’hui à Doumiac, un village Tarnais. Pourtant, comme dans le rugby d’hier, les matchs sont l’animation dominicale. Les supporters profèrent des insultes envers l’arbitre et finissent par se battre. Mais ce sont des enfants qui jouent sur le terrain. Et « Le match de rugby n’est pas crédible » selon Lucie, une lycéenne de 16 ans.

Le rugby est un sport collectif, caractérisé par l’esprit d’équipe. Le réalisateur, Philippe Guillard, Vincent Moscato alias Pompon, ainsi que Guy Novès ou Christian Califano, ont connu cet esprit d’équipe en tant que professionnels. Les têtes d’affiches, Gérard Lanvin et Olivier Marchal, ont également pratiqué ce sport, en amateur, dans leur jeunesse.

En dehors du rugby, le film se penche sur la relation père fils et le poids d’une tradition familiale dans un petit village. Le fils à Jo vit dans un monde d’hommes, dans lequel des femmes vont faire leur apparition. « L’histoire est attendue, mais les acteurs sont bons » déclare Romain, un étudiant de 22 ans.

Dans l’oeil des enfoirés à Montpellier…

26 Jan

Montpelliéraines et Montpelliérains se plongeront Dans l’œil des enfoirés à l’Arena, dès ce soir, et jusqu’à lundi.

Grégoire, « le petit nouveau » de Les enfoirés… la crise de nerfs à Nice, cède son titre. Cette année, la chanteuse Zaz, les nageurs Amaury Leveaux, Alain Bernard et Camille Lacourt et le sélectionneur de l’équipe de France de football, Laurent Blanc, rejoignent la troupe.

Outre les nouveaux, majoritairement sportifs cette année, il y a un revenant. Serge Lama, absent depuis les concerts de Marseille en 2002, réintègre les enfoirés. Ce retour palliera peut être l’absence de Francis Cabrel et Julien Clerc, qui ne chanteront pas sur la scène de l’Arena.

La joyeuse troupe s’était produite au Zénith de Montpellier, lors de sa tournée L’odyssée des enfoirés. Dix ans plus tard, le chef lieu Héraultais accueille, à nouveau, les artistes pour une série de sept concerts. En effet, depuis 2002, les enfoirés ne partent plus en tournée, mais investissent une ville pour plusieurs représentations.

En attendant les concerts, le premier single extrait de Dans l’œil des enfoirés est diffusé sur les ondes. Il s’agit du titre « On demande pas la lune », adapté de « J’ai demandé à la lune » d’Indochine. Cette chanson clora le spectacle pendant les six prochains soirs.

Quel avenir ?

23 Jan

Le 23e salon de l’étudiant s’est tenu vendredi et samedi, à Marseille. 200 exposants se sont déplacés au Parc Chanot afin de parler de leur école avec des jeunes.

Des étudiants, des lycéens et même des collégiens, accompagnés de leurs parents ou entre amis, déambulaient, avec ou sans but, dans les allées du salon. Certains jeunes, obligés d’assister à l’évènement par leurs écoles, sont arrivés sans projet précis pour leur avenir. Ils sont rentrés chez eux avec de nombreuses possibilités pour le futur. Des collégiens, emplis de rêves avaient de nombreuses questions à poser aux étudiants venus représenter leurs écoles.

Les stands des métiers de la santé et en particulier la médecine avaient la cote. Les uniformes de l’armée attiraient l’œil, mais pas nécessairement la vocation. Les exposants des écoles d’ingénieurs n’ont pas cessé de parler de leur formation durant ces deux jours. Toutefois, quelques exposants ont subi de longs moments de solitude, surtout en début de matinée.

Les Rencontres Métiérama se dérouleront du 27 au 29 janvier 2011 au Parc Chanot de Marseille. Elles permettront peut être à ceux qui demeurent indécis de choisir leur voie.

La pro du shopping décrypte la mode printemps/été 2011…

20 Jan

« Cet été la tendance sera : ample en haut et court en bas, comme les shorts » déclare Héloïse, étudiante à Marseille et inconditionnelle du shopping. La jeune fille décrypte la mode printemps/été 2011, qui sera, selon elle, dans la continuité de ces trois dernières année. Elle constate que « les gens se dénudent de moins en moins »…

Comment suivre la tendance ?

En ce moment, la fashion week se tient à Paris. Héloïse la suit « objectivement ». Elle ne porterait pas les vêtements qui y sont présentés mais aime « voir les limites des créateurs ». Héloïse s’inspire des tendances passées, de ce qui s’est porté en hiver. La mode s’adapte à la chaleur de l’été, en particulier pour les textures, de la toile ou du satin. Seulement, selon l’étudiante « la toile fait tout de suite paysan, surtout chez les hommes ».

Fleuri mais pas flashy…

Les chemises fleuries vont rester. Les vêtements seront fleuris mais « soft, sobres ». Il est préférable d’opter pour des couleurs fades, le bleu, le beige ou le gris, que pour des couleurs flashy. Pas de robes à la Laura Ingalls, l’héroïne de La petite maison dans la prairie. « Toute superposition est bonne à prendre », un gilet uni sur un top fleuri, fait ressortir les motifs du top.

Des accessoires, mais pas trop…

La mode est basée autour des accessoires. Un sac sobre se décore. Dans la continuité de l’année dernière, les serre-têtes resteront à la mode, portés sur « des cheveux lâchés ». Pour orner sa coiffure, « les papillons reviennent bien, ils sont communs mais classe ».

Héloïse « ne croit pas du tout au retour des bagues extravagantes ». D’ailleurs, les femmes portent de moins en moins de bijoux. Seul un sautoir peut accessoiriser une tenue, si la personne n’a pas opté pour un foulard.

Un carré de soie, toujours sur soi…

Le carré de soie se porte même l’été. Il se noue plutôt serré et peut apporter une touche de couleur, qui contraste avec des vêtements sobres. « Un carré de soie avec une chemise blanche » est une tenue simple mais efficace. Un foulard peut également servir d’accessoire lorsqu’il est noué sur la anse d’un sac à main.

La tenue d’Héloïse pour le printemps…

Aujourd’hui, pour Héloïse, la mode c’est « tu t’habilles comme tu veux, tant que tu crées ton propre style ».

Sa tenue pour le printemps, la jeune fille la voit rétro : un jean clair déchiré, des bottines noires en cuir avec des talons assez pointus, une chemise blanche brodée, une veste en cuir, qui arrive au dessus des hanches et un carré de soie rouge très serré.